Conclusion des Rébellions : L'Acte d'Union 1840
Mackenzie et Papineau ont uni leurs forces pour prépare une rébellion armée
Rébellions dans le Bas-Canada
Alors que Papineau était occupé à organiser des protestations et des assembles, une rébellion armée a subitement éclaté quand un groupe de patriote à résister à son arrestation par l’autorité. Des militants d’un parti plus engagé s’est joint à eux. C’était le début.
La vraie rébellion a commencé quand on a tenté l’arrestation de Papineau. Celui-ci s’est enfui aux États-Unis. Wolfred Nelson et les patriotes ont envahi Saint-Denis mais à Saint-Charles et à Saint-Eustache ils se sont battre. C’était la fin des batailles.
En 1838, on tente une deuxième rébellion, mais une grande division britannique arrive dans le Bas-Canada et le mouvement de dissipe immédiatement.
Les Patriotes ont perdu et le Québec s’en rappelle encore aujourd’hui.
Rébellions dans le Haut-Canada
Des rébellions ont aussi lieu dans le Haut-Canada. Mackenzie forme des agriculteurs à la bataille. Les rebelles ont perdu leur bataille et Mackenzie s’est enfui aux États-Unis.
Punitions aux rebelles/réformateurs
Les rebelles ont été punis : certains ont été pendus et d’autres ont été envoyés en exil dans d’autres colonies comme en Tasmanie par exemple pour devenir esclaves pour le gouvernement. En réalité, beaucoup mourraient durant le voyage.
Rapport Durham et l’Acte d’Union
La rébellion au Bas-Canada a mis fin aux espoirs des Canadiens français d’obtenir la justice et la démocratie qu’ils exigeaient.
L’Empire britannique, sous la recommandation de Durham, a décidé d’unir le Haut et le Bas-Canada pour devenir la province du Canada ou le Canada-Uni en 1840. Il y a eu très peu de considérations pour les Canadiens (documents gouvernementaux rédigés en anglais par exemple).